17.09.2021 • 20:00
TICKETSMARIE-CLAUDE PIETRAGALLA
17.09.2021
Le Covid Save Ticket sera demandé à l’entrée du Cirque Royal pour le spectacle de Pietragalla - La Femme qui danse ce vendredi 17 septembre.
Information importante : suite aux annonces du Comité de Concertation du vendredi 20 août dernier, le spectacle sera uniquement accessible aux personnes pouvant présenter un Covid Safe Ticket ainsi qu’une pièce d’identité, c’est-à-dire :
• Disposer d’une VACCINATION COMPLETE (2 doses Pfizer, Moderna ou AstraZeneca ou 1 dose Johnson & Johnson) + 2 semaines.
OU
• Présenter un test PCR NÉGATIF datant de moins de 48H (date et heure de prélèvement) – Validité : jour du prélèvement + 2 jours (fin de validité à 23h59).
OU • Présenter un test ANTIGÉNIQUE NÉGATIF datant de moins de 24H (date et heure de prélèvement) - Validité : jour du prélèvement + 1 jour (fin de validité à 23h59).
OU
• Disposer d'un certificat de guérison (de plus de 10j et moins de 180j).
Attention, l’organisation ne délivre pas le Covid Safe Ticket et n’effectue pas de test sur place. Il s’agit d’un QR-code que vous devez avoir en votre possession soit :
• Sur smartphone via l’application covidsafe.be via CovidSafe.be
• En version papier via le site internet masante.belgique.be
Les bars resteront fermés.
Les vestiaires resteront fermés.
Timing :
Portes : 19:00
Spectacle : 20:00
Le spectacle de Marie-Claude PIETRAGALLA , « La Femme qui Danse » , du 11 mai 2021 au Cirque Royal de Bruxelles ne pourra avoir lieu.
Les tickets pour ce spectacle resteront valables pour la représentation du même spectacle prévu le 17 septembre 2021 au Cirque Royal.
La femme qui danse, je l’ai vue tous les jours travailler dans le studio accrochée à la barre, étirant son corps pour qu’il devienne l’instrument de nos imaginaires, de nos chorégraphies...
La femme qui danse
Seule en scène avec Marie-Claude Pietragalla
Mise en scène et chorégraphie
Marie-Claude Pietragalla et Julien Deouault
Musiques
Tchaikovsky, Stravinsky, Olafur Arnalds, Ravel, Debussy, Mozart, Bach, Max, Richter, Arvo Pârt
L’abnégation, la persévérance, la passion qui animent Pietra prennent leurs sources dans une personnalité hors du commun, un caractère singulier d’une artiste de génie qui ne laisse personne indifférent. Il y a deux femmes ou plutôt deux personnalités qui cohabitent chez elle : la femme timide et cependant engagée qui tous les jours trace sa route, dirige sa compagnie, rêve sa vie et trouve la force de la réaliser...
Puis cette autre femme passionnée et exigeante envers elle- même qui défie le temps, l’apesanteur et la beauté à chaque seconde passée sur scène.
L’artiste se métamorphose sans cesse : il emprunte à la vie l’énergie décuplée de ses espérances, de ses doutes et de ce travail minutieux, quasi-sculptural du danseur pour mieux faire ressentir sur scène la vie elle-même, sa grandeur, sa décadence, son originalité, sa poésie et sa puissance.
Pietra entame aujourd’hui un travail d’introspection inédit puisqu’elle plonge dans sa mémoire psychique et organique pour faire resurgir des visages, des rencontres, des « moments » de danse... Que reste-t-il dans le corps et dans le cœur de toutes ces chorégraphies, de tout un parcours d’artiste ?
La mémoire est la faculté de conserver, d’enregistrer des états de conscience et de les reconnaître, de les éprouver à nouveau en tant que souvenirs. La vie consciente n’est possible, n’est permise que dans la mesure où le souvenir peut être enregistré et reconnu.
- Une danse consciente peut-elle exister dans ces conditions ?
- Se remémorer pour ne pas oublier ?
- Comment lier héritage et création ?
- Comment l’oralité de la transmission peut-elle constituer la première étape d’une écriture scénique qu’elle soit chorégraphique ou théâtrale ? Ce sont ces questions et tant d’autres qui sont à l’origine de ce projet si intime et personnel.
Seule en scène, tentant de révéler l’indicible de notre métier et de notre art, Pietra s’invente guide et témoin, muse et créatrice, disciplinée et rebelle, actrice et danseuse.
« Don’t look back » et « La tentation d’Eve » étaient les premiers solos, expériences à la fois enivrantes et angoissantes, seule sur scène l’artiste se doit d’être son propre univers, sa propre résonnance.
Julien Derouault, chorégraphe